Pisteur-secouriste de par son métier (il s’orientait vers les métiers de l’électricité), Antoine vit en France. L’été la neige ayant fondu, il gère l’état des pistes de vélos et de descente. Bref, une vie au grand air. Manquait l’appel des grands espaces et du large : la mer et le parapente. Les « spots » marocains commençant à être réputés, il se parachute avec des potes à Aglou-plage et tombe sous le charme de ces habitations nichées dans la falaise.
Il se renseigne sur les possibilités d’acquisition (entre 3000 et 45 000 euros), visite une grotte par jour. L’idée est à creuser
Il se renseigne sur les possibilités d’acquisition (entre 3000 et 45 000 euros), visite une grotte par jour. L’idée est à creuser
« J’ai quelques économies, alors plutôt que d’acheter une belle bagnole (c’est pas on style) ou de dépenser plus (faudrait être fou !), pourquoi pas m’offrir un lieu original dans un lieu reposant, où on déconnecte (veuillez ranger vos portables, votre TV, vos habitudes, vos voisins… totalement inutiles). En plus, planche à portée de mer, parapente à portée de voile, selon les vents. Le « Nid d’aigle » (pour parapentistes confirmés) est à vol d’oiseau à trois bornes, et les poissons à portée de canne !
Il y a un an, il découvrait nos grottes, dorénavant Antoine est notre voisin. Il fait la surprise à sa mère, venue quelques jours lui rendre visite, éternel sourire aux lèvres. Son frère est ravi.
Ya t-il un lien? son grand-père, Louis, creusait dans les couches calcaires (molasse) du domaine familial (Drôme, Isère) des grottes, pour stocker du bois, du matériel et pour le plaisir… de creuser.
Il y a un an, il découvrait nos grottes, dorénavant Antoine est notre voisin. Il fait la surprise à sa mère, venue quelques jours lui rendre visite, éternel sourire aux lèvres. Son frère est ravi.
Ya t-il un lien? son grand-père, Louis, creusait dans les couches calcaires (molasse) du domaine familial (Drôme, Isère) des grottes, pour stocker du bois, du matériel et pour le plaisir… de creuser.
Dorénavant, le voilà mettant la main à la pâte (enduits de chaux recommandés), se grattant le crâne pour résoudre les soucis quotidiens : humidité marine, vents de sable, électricité (il est au courant). Peu à peu, il s’informe de l’environnement, des us et coutumes, des recettes de cuisine (plat à Tajine, première cuisson…). En deux mots, il s’est pris au jeu…
Les Trogs lui adressent le « Marabah » de rigueur.
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