Les tribulations d’un “road tripper” à Bourges

Nous voilà partis, marchant des heures durant, sans rien à se mettre sous la dent, parcourant les rues labyrinthiques de Bourges. Il n’a pas été facile, pour ne pas dire impossible, d’obtenir les autorisations nécessaires pour descendre à plus d’un mètre sous terre. Quand soudain s’impose à nous un petit chemin qui s’engouffre dans un bosquet, à l’écart de tout.
Nous n’hésitons pas, la pente s’accentue, nous descendons dans les entrailles de la ville qui s’offrent à nous. Et là, nous tombons sur quatre jeunes téméraires, équipés de leur I’phones-lampe torche (merci Apple), prêts eux aussi à s’aventurer dans ce dédale de cavités.
Après les avoir rassurés sur nos intentions pacifiques, et profitant de leurs lampes torches, nous allons de l’avant.
Nous voilà partis dans les dédales souterrains de la ville, avec l’appréhension de ne pas retrouver notre chemin. D’étroits boyaux enchaînent les anciennes carries couvertes de lierre. Nous découvrons également des caves d’extraction, ensuite dévolues aux champignons, vouées dorénavant au vandalisme et à l’abandon.
Nos compères nous affirment que certains de ces souterrains conduiraient jusqu’à Sancerre. Les légendes sont inscrites dans les mémoires, comme partout ailleurs.
Affaire à suivre…
PS : Ces caves sont remplies de chauves-souris !
Nous n’hésitons pas, la pente s’accentue, nous descendons dans les entrailles de la ville qui s’offrent à nous. Et là, nous tombons sur quatre jeunes téméraires, équipés de leur I’phones-lampe torche (merci Apple), prêts eux aussi à s’aventurer dans ce dédale de cavités.
Après les avoir rassurés sur nos intentions pacifiques, et profitant de leurs lampes torches, nous allons de l’avant.
Nous voilà partis dans les dédales souterrains de la ville, avec l’appréhension de ne pas retrouver notre chemin. D’étroits boyaux enchaînent les anciennes carries couvertes de lierre. Nous découvrons également des caves d’extraction, ensuite dévolues aux champignons, vouées dorénavant au vandalisme et à l’abandon.
Nos compères nous affirment que certains de ces souterrains conduiraient jusqu’à Sancerre. Les légendes sont inscrites dans les mémoires, comme partout ailleurs.
Affaire à suivre…
PS : Ces caves sont remplies de chauves-souris !