Tant à dire, tant à faire… petit billet sur le chemin du retour

Paolo Montagna et Maria Teresa Barbaro , Parco de la Murgia
Quatre jours en tout et pour tout pour appréhender quelque peu tout ce qui se passe à Matera : Partir à la découverte des « sassis », de leur histoire, du sentiment de honte collective qui s’est transformé au fil des générations et des volontés, en désir de réappropriation de la culture, dont les églises rupestres pillées durant une période mais qui résistent au temps. S'interroger sur comment faire carrière dans le « tufo », la pierre tendre locale. Questionner quelques-uns des acteurs locaux du développement touristique qu’ils soient regroupés en association ou liés au « Parc Naturel " local (Parco della Murgia). Se tourner vers le passé avec l’histoire de « la Scaletta »(association à l’origine de la réhabilitation des sassis), ou se projeter dans le futur avec "Matera 2019". Voilà ce que nous ramenons dans nos bagages pour l’essentiel, sachant que les contacts noués sur place vont nous permettre d’aborder d’autres sujets avec sans doute quelques portraits à la clef.
Ce sont les différents sujets que nous traiterons les uns après les autres dès notre retour, histoire de vous mettre l‘eau à la bouche, vous donner l’envie de vous y rendre. C’est aussi continuer d’avancer sur les traces de « Caves Network », le projet de réflexion européen, initié par la précédente municipalité de Saumur, relégué aux oubliettes depuis, et regretté par certains habitants des sassis.
Quatre jours qui nous ont imposé leur condition, celle d’y retourner prochainement et dans tous les cas d’y tisser des liens cette fois-ci indéfectibles.
Ce sont les différents sujets que nous traiterons les uns après les autres dès notre retour, histoire de vous mettre l‘eau à la bouche, vous donner l’envie de vous y rendre. C’est aussi continuer d’avancer sur les traces de « Caves Network », le projet de réflexion européen, initié par la précédente municipalité de Saumur, relégué aux oubliettes depuis, et regretté par certains habitants des sassis.
Quatre jours qui nous ont imposé leur condition, celle d’y retourner prochainement et dans tous les cas d’y tisser des liens cette fois-ci indéfectibles.