
"Le mode de chauffage par hypocauste (foyer souterrain destiné à chauffer les bains) fût conservé dans certaines régions, à l'exemple des Romains, les Arabes utilisèrent la chaleur des sources d'eau chaude naturelles. Dans ce type de hammam, appelé "kaplica" ou "ilica", il n'y a pas de plateforme de sudation au centre de la pièce la plus chaude. Une piscine d'eau chaude naturelle la remplace pour chauffer le hammam."
Ce principe de construction était déjà connu des Grecs du 4ème siècle avant J.C. On en a retrouvé des vestiges à Olympie au premier siècle avant JC. Mais ce sont les Romains qui le perfectionnèrent dans leur utilisation intensive dans le "caldarium" des thermes. On en retrouve aussi dans les riches maisons particulières.
Dans les thermes, pour obtenir une plus forte chaleur, on intégrait également dans les murs des tuyaux de terre cuite (tubuli), qui évacuaient la fumée des foyers (intégrés au bâtiment) et l'air chaud circulant dans l'hypocauste. Voila qui introduit à point nommé le sujet de demain consacré aux citernes de Matera.
Ce principe de construction était déjà connu des Grecs du 4ème siècle avant J.C. On en a retrouvé des vestiges à Olympie au premier siècle avant JC. Mais ce sont les Romains qui le perfectionnèrent dans leur utilisation intensive dans le "caldarium" des thermes. On en retrouve aussi dans les riches maisons particulières.
Dans les thermes, pour obtenir une plus forte chaleur, on intégrait également dans les murs des tuyaux de terre cuite (tubuli), qui évacuaient la fumée des foyers (intégrés au bâtiment) et l'air chaud circulant dans l'hypocauste. Voila qui introduit à point nommé le sujet de demain consacré aux citernes de Matera.