Laurent Girault, ébeniste.

Bon toujours la même histoire. Le fils succède au père. Mais une histoire qui se fait rare. Moi j’aurais du être dentiste. Pas la vocation. Et oui, la transmission, c’est pas toujours évident. Dans le cas qui nous intéresse, Laurent prend la suite de son père dans l’atelier, j’allais dire dans les mêmes meubles. Il se forme au métier, puis travaille dans l’entreprise familiale avant de prendre les rênes ou le taureau par les cornes. L’affaire familiale se développe, et il décide d’ouvrir une brocante.
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Une vraie brocante.

On n’est pas aux Puces de Montsoreau où parfois un dé à coudre de grand-maman coûte la peau… des fesses. Là, je vous assure, les prix sont plus qu’abordables, foi de Mister Trog (près de ses sous). Le choix est là, bref, la vraie brocante où vous trouvez (comme par hasard) ce qui vous a toujours manqué, genre une vieille pelle à charbon rouillée. Et pour finir, on est bien évidemment en troglo, une véritable caverne d’Ali Baba (lui aussi était troglo, au fait). L’atelier n’est pas loin, regorgeant de bois, de chaises à rempailler, idéal en cave pour la conservation du bois.
http://sites.google.com/site/brocantegirault/
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