
C’est Anne dont la famille est gennoise qui réinvestit les lieux de famille, qu’elle connaissait bien dans ses jeux d’enfant et dans les réunions familiales. C’était en 2008. Il a fallu d’abord vider les lieux plus ou moins laissés à l’abandon avant de se lancer dans la restauration proprement dite.
Laure, quant à elle ne connaissait rien aux troglos. Cette archéologue au CNRS, habituée aux chantiers de fouilles (Amérique Latine) est séduite par le lieu. Les deux jeunes femmes retroussent leurs manches et se lancent dans l’aventure, encadrées par l’architecte Houssam Dahhan et le tailleur de pierre David Pépion (l’Andecave). Il s’agit de réinventer l’espace en ouvrant des tunnels, de monter des murs de maçonneries, de recréer des planchers (en acacia très résistant). Anne et Laure ne reculent devant rien. Elles taillent, transportent et installent elles-mêmes les blocs de tuffeau pour dresser les murs.
Le Gennois dispose d’un important patrimoine troglodytique qui connaît depuis quelques années un regain d’intérêt et où, ici et là, émergent quelques merveilles.
Laure, quant à elle ne connaissait rien aux troglos. Cette archéologue au CNRS, habituée aux chantiers de fouilles (Amérique Latine) est séduite par le lieu. Les deux jeunes femmes retroussent leurs manches et se lancent dans l’aventure, encadrées par l’architecte Houssam Dahhan et le tailleur de pierre David Pépion (l’Andecave). Il s’agit de réinventer l’espace en ouvrant des tunnels, de monter des murs de maçonneries, de recréer des planchers (en acacia très résistant). Anne et Laure ne reculent devant rien. Elles taillent, transportent et installent elles-mêmes les blocs de tuffeau pour dresser les murs.
Le Gennois dispose d’un important patrimoine troglodytique qui connaît depuis quelques années un regain d’intérêt et où, ici et là, émergent quelques merveilles.

Laure a pris une année de congé pour restaurer ce foyer de vie