
Je tourne fébrilement les pages à la recherche de Saumur. Les jolies demeures, les intérieurs vernissés à souhait décuplent mon impatience. Page 108. Tête de classement du hit parade : le Cadre Noir, comme d’hab, des photos léchées, parisiennes à souhait. Vient ensuite la Loire (Patrimoine Mondial etc, etc.) et les lieux habituels. Ah oui ! une photo représente le « troglo de plaine » de ce cher Harold Schmitt.
Un carnet d’adresse des plus succincts et des textes résumés de… résumés.
En bref, et c’est mon avis personnel, rien de nouveau, avec toujours les mèmes têtes d’affiche, et le même discours. OK, je bougonne dans ma barbe « ça manque de vie tout ça !), ou de vision.
Pourtant le chapô est éloquent : « Saumur la cavalière… Réputée pour son art de vivre et sa douceur légendaire, Saumur a décidé de nous surprendre ». Je reste sur ma faim.
Un carnet d’adresse des plus succincts et des textes résumés de… résumés.
En bref, et c’est mon avis personnel, rien de nouveau, avec toujours les mèmes têtes d’affiche, et le même discours. OK, je bougonne dans ma barbe « ça manque de vie tout ça !), ou de vision.
Pourtant le chapô est éloquent : « Saumur la cavalière… Réputée pour son art de vivre et sa douceur légendaire, Saumur a décidé de nous surprendre ». Je reste sur ma faim.