Cependant, la médaille a son revers : le temps est parfois pluvieux, la gadoue au rendez-vous, la bonne humeur vite mise à mal par la fatigue, car le travail est éreintant. ce sont les premiers jours qui sont les plus difficiles. Le lendemain matin de son premier jour de travail, le vendangeur se réveille tellement courbaturé qu'il a l'impression qu'il ne pourra jamais se relever. Mais la résistance physique s'acquiert au fur et à mesure que les journées de travail s'écoulent, et la fatigue n'empêche pas le vendangeur de participer, le soir venu à des ripailles et beuveries qui ne l'aideront guère à se lever, de bon matin, frais et dispos surtout avec le vin nouveau !!!!
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Patrick Edgard Rosa le 30/09/2012 07:48