Les refuges “pour les nuls”

L'habitat troglodytique est une architecture présente dans différentes traditions, cultures, pays, consistant à aménager des habitats souterrains ou creusés dans le rocher à flanc de montagne. Les maisons troglodytiques sont souvent creusées dans la roche tendre de type calcaire, mollasse ou grès. Disons, pour faire bref, que dans de nombreuses périodes dont la préhistoire, l’homme s’est par réflexe, par instinct, protégé dans des grottes naturelles.
Franchissons donc allègrement quelques millénaires et retrouvons les écrits de Pline l’Ancien, naturaliste de son état, qui nous donne une description des troglodytes associant divers peuples, Garamentes, Augyles... “Les Troglodytes creusent des cavernes, ce sont leurs maisons ; la chair des serpents leur sert de nourriture ; ils ont un grincement, point de voix, et ils sont privés du commerce de la parole. Les Garamentes ne contractent point de mariages, et les femmes sont communes. Les Augyles n'honorent que les dieux infernaux. Les Gamphasantes, nus, ignorants des combats, ne se mêlent jamais aux étrangers. On rapporte que les Blemmyes sont sans tête, et qu'ils ont la bouche et les yeux fixés à la poitrine." (Pline, Histoire naturelle, livre 5, VIII, 3).
Autre saut de puce dans le temps, nous croisons parfois Lady Trog, penchée sur Platon, toujours branchée littérature pour nous arréter brièvement sur le Larousse du 20ème siècle qui publie une notice où il est question de troglodytes : « Pline, Ptolémée, Strabon ont évoqué des Troglodytes. Pour Strabon, ils ne cultivaient pas la terre, mais ils habitaient les anfractuosités des rochers et vivaient des produits de leur chasse. Les femmes et les enfants étaient en commun. Ils mangeaient aussi les serpents, aux dires de Pline, et n'avaient aucune langue fixée, mais poussaient de simples cris gutturaux. »
Franchissons donc allègrement quelques millénaires et retrouvons les écrits de Pline l’Ancien, naturaliste de son état, qui nous donne une description des troglodytes associant divers peuples, Garamentes, Augyles... “Les Troglodytes creusent des cavernes, ce sont leurs maisons ; la chair des serpents leur sert de nourriture ; ils ont un grincement, point de voix, et ils sont privés du commerce de la parole. Les Garamentes ne contractent point de mariages, et les femmes sont communes. Les Augyles n'honorent que les dieux infernaux. Les Gamphasantes, nus, ignorants des combats, ne se mêlent jamais aux étrangers. On rapporte que les Blemmyes sont sans tête, et qu'ils ont la bouche et les yeux fixés à la poitrine." (Pline, Histoire naturelle, livre 5, VIII, 3).
Autre saut de puce dans le temps, nous croisons parfois Lady Trog, penchée sur Platon, toujours branchée littérature pour nous arréter brièvement sur le Larousse du 20ème siècle qui publie une notice où il est question de troglodytes : « Pline, Ptolémée, Strabon ont évoqué des Troglodytes. Pour Strabon, ils ne cultivaient pas la terre, mais ils habitaient les anfractuosités des rochers et vivaient des produits de leur chasse. Les femmes et les enfants étaient en commun. Ils mangeaient aussi les serpents, aux dires de Pline, et n'avaient aucune langue fixée, mais poussaient de simples cris gutturaux. »
Un reflexe mondialement connu

Quelques soient les cultures abordées, cet habitat réflexe a connu ses heures de gloire et de fréquentation, notamment en temps de guerre, d’invasion ou de crise “économique” pour les plus démunis. Les exemples affluent : nous avons donc découvert quelques sites intéressants que nous vous présenterons dans nos pages. Tout ce que vous avez voulu savoir sur Varennes, Sublaines, la grotte des Planches, la Grotte aux Fées, la Grotte du Vieux Mounoui, mais aussi Goufhi, nous les visiterons ensemble.
Habitat pour rongeurs

C’est sans oublier nos amis les bêtes pour lesquelles nous avons parfois une tendresse particulière... allez, en cette fin d’année, un petit sourire.