Matera, la référence

Les yeux des cyclopes
J’ai l’impression, en matière d’habitat troglodytique, de n’avoir rien vu avant Matera. La vieille vlle, juchée sur un escarpement, surplombe « La Gravina » qui serpente bruyamment au fond du ravin.
Face au village, sur l’autre versant, d’anciennes cavités soigneusement entretenues nous scrutent tels des cyclopes qui observent la cité et les sassis, de pierre beige et grise revêtus.
Face au village, sur l’autre versant, d’anciennes cavités soigneusement entretenues nous scrutent tels des cyclopes qui observent la cité et les sassis, de pierre beige et grise revêtus.
Matera s'éveille

Promeneurs solitaires
Le cœur de Matera est fait de pierre : il bat tranquillement en cette fin d’hiver, où les architectures entremélêes et les ruelles enchevétrées sur plusieurs niveaux dialoguent depuis la nuit des temps.
La ville est silencieuse, étonnemment propre, comme briquée, pour accueillir l’inévitable et nécessaire saison touristique à venir. Encore le temps de rêver pour les promeneurs solitaires. L’idéal.
La ville est silencieuse, étonnemment propre, comme briquée, pour accueillir l’inévitable et nécessaire saison touristique à venir. Encore le temps de rêver pour les promeneurs solitaires. L’idéal.