Le musée du Quai Branly
Déjà le lieu est magique : végétalisation des façades, jardin extraordinaire. Seul bémol, la communication sur les horaires (pas avant 11 heures du matin, ouvert le mardi, mercredi et dimanche de 11h à 19h, le jeudi, vendredi et samedi nocturne jusqu’à 21h. Ouverture des guichets à 9h30, gratuit le 1er dimanche de chaque mois… bref, prenez toutes les informations avant de vous y rendre). Trois salles judicieusement éclairées vous plongent dans l’univers des Dogon. Une petite alcôve diffuse un film (espace un peu exigü) d’ethnologie d’une durée d’environ 20 minutes.
L’exposition
Elle présente 330 œuvres rassemblées exceptionnellement pour l’occasion et issues de collections venues du monde entier. Panorama de l’art dogon du 7ème siècle à nos jours, l’exposition montre l’impact des flux migratoires et des contacts successifs des Dogon avec les autres peuples de la région sur la culture et l’art dogon. Statuettes, objets de cultes ou quotidiens, masques rituels, tout un ensemble qui illustre la richesse stylistique,des premiers contacts avec les Tellems jusqu’au développement du goût européen pour les masques et la statuaire au 20ème siècle.
Nous reviendrons plus en détail dans les jours à venir sur les peuples Dogon et une culture qui n’a rien de figé comme l’image tant vulgarisée des célèbres masques. Bien au contraire, c’est un pays en perpétuel mouvement qui se maintient en équilibre dans un paysage aux décors torturés autour de la falaise de BANDIAGARA…
A suivre.
Nous reviendrons plus en détail dans les jours à venir sur les peuples Dogon et une culture qui n’a rien de figé comme l’image tant vulgarisée des célèbres masques. Bien au contraire, c’est un pays en perpétuel mouvement qui se maintient en équilibre dans un paysage aux décors torturés autour de la falaise de BANDIAGARA…
A suivre.